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Kinshasa, RDC - Ce samedi 15 mars marque un tournant majeur pour le système judiciaire de la République démocratique du Congo avec la réouverture officielle de l'École nationale de criminologie, une institution emblématique fermée depuis 1987. L'événement, salué comme une étape cruciale dans la modernisation du secteur judiciaire, a attiré l'attention de nombreux acteurs de la scène politique et juridique.
Un concours d'admission très convoité
La réouverture de l'école a suscité un engouement considérable, avec 3 500 jeunes candidats inspecteurs judiciaires participant au concours d'admission. Parmi eux, seuls 500 seront sélectionnés pour suivre une formation rigoureuse d'une année. Cette formation intensive vise à préparer les futurs inspecteurs à intégrer ce corps d'élite, essentiel à l'efficacité du système judiciaire congolais.
Constant Mutamba : un acteur clé de la réforme judiciaire
Le ministre de la Justice et garde des Sceaux, Constant Mutamba, a joué un rôle déterminant dans la réouverture de l'école. Sur son compte X, il a souligné l'importance de cette initiative pour renforcer les capacités du système judiciaire et lutter contre la criminalité.
Un corps d'élite pour une justice renforcée
La formation dispensée à l'École nationale de criminologie vise à doter les futurs inspecteurs judiciaires des compétences nécessaires pour mener des enquêtes criminelles complexes, analyser les scènes de crime et recueillir des preuves de manière scientifique. L'objectif est de renforcer l'efficacité de la chaîne pénale et de garantir des procès équitables.
Un pas vers la modernisation du système judiciaire
La réouverture de l'École nationale de criminologie s'inscrit dans une dynamique de modernisation du système judiciaire congolais, engagée par le gouvernement. Elle témoigne de la volonté de doter le pays d'une justice plus efficace, plus transparente et plus respectueuse des droits humains.
Un événement porteur d'espoir
La réouverture de l'École nationale de criminologie est un événement porteur d'espoir pour la population congolaise, qui aspire à une justice plus équitable et plus efficace. Elle marque un pas important vers la construction d'un État de droit solide et respecté.
