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Fraude douanière : Luc Gérard Nyafé condamné par la justice marocaine

Inversion des valeurs ou ignorance? La manière dont certaines personnes publiques sont présentées par une certaine presse en République démocratique du Congo donne matière à réflexion. A lire la presse sur la vraie fausse affaire qui opposerait la firme STRATEGOS GROUP à la société Shomka Resources Ltd, on se rend bien compte que ceux qui l'alimentent profitent de l'ignorance critiques tels l'existence de décisions du Tricom depuis avril 2023 publiées au Journal  Officiel de la République de certains détails de la part des personnes auxquelles ils se confient pour distiller le mensonge et ainsi désorienter l'opinion. “Quand le mensonge prend l'ascenseur, la vérité prend l'escalier”, dit-on. Le Président de Shomka Resources Ltd qui a récemment déposé plainte contre un journaliste pour diffamation et calomnie devrait se frotter les mains avant même que la justice ne se saisisse de l'affaire. La publication du média en ligne marocain La Vie Eco du 21 octobre 2024 permet à se faire une idée sur le vrai visage de celui qui est derrière la campagne de sape contre le Président Victor Kasongo Shomary. Dans cet article La Vie Éco rapporte les mésaventures de Luc Gérard Nyafé qui ont conduit la justice marocaine à le condamner à six mois de prison avec sursis. Le Tremplin vous propose de couvrir ci-dessous l'article révélateur : 

Le PDG de CMT condamné à 6 mois de prison avec sursis et 827 MDH d’amende
Luc Gérard Nyafé, patron de la Compagnie minière Touissit, a été condamné dans le cadre d’une affaire liée à une infraction douanière.
La justice a condamné en première instance Luc Gérard Nyafé, président-directeur général de la Compagnie minière Touissit (CMT) à une peine de six mois de prison avec sursis, dans le cadre d’une affaire liée à une infraction douanière, apprend La Vie Eco.
L’homme d’affaires a également été condamné à verser une amende d’un montant de 827 millions de dirhams à l’Administration des douanes et des impôts indirects (ADII).
Rappelons que l’Office des changes avait diligenté une enquête auprès de CMT concernant des opérations d’investissements à l’étranger réalisées par la minière de 2012 à 2022. L’amende réclamée par l’Office était de 376,175 millions de dirhams. La Douane avait alors procédé, en novembre 2023, à une saisie conservatoire sur le fonds de commerce de la CMT pour garantir le paiement d’une somme équivalente à six fois le montant de l’amende, soit environ 2,3 milliards de dirhams.
Fin janvier 2024, CMT avait annoncé dans un communiqué que le Procureur du Roi, saisi par l’Administration des Douanes conformément à la loi, après enquête et instruction du dossier, n’avait retenu qu’une seule opération sur les six comme pouvant présenter un caractère irrégulier.

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