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DGI : Campagne de diabolisation du DG Muakadi, un pétard mouillé


Barnabé Muakadi victime de sa gestion orthodoxe
Comme il fallait s’y attendre, les pêcheurs en eau trouble ne désirent pas la transparence dans la gestion. Ceux qui bénéficiaient jadis de l’opacité dans la gestion de la Direction générale des impôts (DGI) sont décontenancés. L’orthodoxie légendaire dont fait montre le Directeur général Barnabé Muakadi depuis son avènement à la tête de cette régie financière prive le sommeil aux prédateurs fiscaux recensés parmi les cadres de ce service public. 


Vérificateur d’impôts pendant 27 ans, ce technocrate réputé à l’international a consommé une rupture radicale avec le passé. Désormais, tout impôt collecté atterrit dans les caisses de l’État. Il a instauré la transparence. Le DG Muakadi mène une guerre sans merci contre le coulage des recettes, une véritable gangrène en RDC. “L’impôt consiste à donner au gouvernement les moyens de sa politique”, ne cesse-t-il de répéter à ses collaborateurs et à la presse.

Sans surprise, les bénéficiaires de la mafia ont pensé bien faire en menant une campagne de sape contre celui que les Congolais de tous bords politiques ont surnommé le recordman. Un effort qui, malheureusement pour eux, ne produit aucun résultat. Désignés par une source interne à la DGI comme principaux chefs d’orchestre de cette machination, sieur Lemvi Mbunzimu, Directeur urbain des impôts de Kinshasa et le Chef de bureau Kitadi Kibala du CDI/Kin ont le malheur de faire face aux réalisations du DG Muadi qui parlent à sa place. 

Les faits sont têtus”, dit-on. Nommé en 2020, cet homme de Dieu n’arrête pas de surprendre positivement. Contesté dès le début par une opinion qui ne savait rien ni de ses capacités managériales ni de sa probité morale, moins encore de sa détermination à accompagner le chef de l'État Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo dans la réalisation de sa politique du "peuple d’abord”, Barnabé Muakadi a forcé l’admiration.

Déjà avril et en mai 2021, sous son impulsion, la DGI a réalisé presque le double des assignations mensuelles. En avril par exemple, la DGI a mobilisé 1 100 milliards de francs (532, 17 millions de dollars au taux budgétaire de 2 067 francs), sur les assignations mensuelles de 637 milliards de francs (308,1) – un taux de réalisation de 172,6 %. En effet, le pasteur Muakadi avait prédit la multiplication des recettes budgétaires en prenant les affaires en mains et ce fut fait.

Les performances saluées par la Chambre haute du Parlement

Le président du Sénat Modeste Bahati Lukwebo, en son temps, lors de la clôture de la session parlementaire du mois de septembre, le 15 décembre 2022, avait félicité le gouvernement pour la grande mobilisation des recettes faite par les régies financières, parmi lesquelles la DGI. Mensuellement, grâce au management du Directeur général des impôts, Barnabé Muakadi, la DGI a réalisé des pics inédits, avec un taux de 130% par rapport aux prévisions annuelles. Au premier semestre 2022, par exemple, sur les 9 717, 1 milliards de francs congolais récoltés, soit 136% des prévisions du semestre évaluées à 7 146,3 milliards de dollars, la DGI a réalisé 6 442 milliards de francs congolais, soit 180% sur les prévisions semestrielles de 3 581, 7 milliards de francs congolais. Grâce à ce travail assidu de mobilisation des recettes publiques, notamment par l'IBP, elle avait atteint ses assignations en juillet 2022.

En janvier 2024, la Direction générale des impôts (DGI) a mobilisé 876,6 milliards de francs congolais, soit plus de 332 millions de dollars. Preuve d’une performance inégalée. Depuis l’arrivée du directeur général Barnabé Muakadi Muamba à la tête de la DGI, les assignations sont pulvérisées. Inconnu du grand public, ce pasteur de l’Église La Main de l’Éternel met en pratique ce qu’il prêche depuis des années : “L’impôt est biblique. À César sa part, à Dieu la sienne”, dit-il régulièrement.

Au nombre des mérites du DG Muakadi, il y a lieu de mentionner la mise en place d’une politique visant à honorer le personnel de la DGI qui a rendu des loyaux services à la nation pendant plus de 30 ans. Ce, conformément à la vision du premier citoyen. A cet effet, une 
enveloppe de 400 milles dollars est remise à chaque retraité de la DGI. Nos sources à l’interne nous ont confié que plus de 1500 agents seront mis à la retraite dans les tous prochains. Ce qui sera une première dans l'histoire de cette régie.

Recrutement des nouvelles unités (NU), une conséquence logique de l’éclatement des directions 

Avec les nouvelles réformes qui pointent à l'horizon, la Direction générale des impôts passera de 8 à 11 directions, une situation qui exige plus de personnel. Pour répondre à cette exigence professionnelle, le DG Barnabé Muakadi a procédé à une série de prises en charge du personnel. 

" Ces jeunes gens qui sont engagés à la DGI sont tous des citoyens congolais et non des étrangers. D'ailleurs, pour une maximisation optimale des recettes au profit du Trésor public, la Direction générale des impôts a besoin de plus de 10.500 agents, pourtant, elle ne compte que 8.000. Parlant des nouvelles unités, la Direction générale des impôts les prend en charge grâce à sa rétrocession de 5%, mais c'est  l'Etat congolais, à travers le ministère de la Fonction publique qui les engage et leur octroie un numéro matricule”, a commenté notre source.

Barnabé Muakadi le bâtisseur 

Le recordman des chiffres confond à nouveau ses détracteurs. Sur l’avenue Batetela, dans la commune de Gombe à Kinshasa, un bâtiment de 7 niveaux vient de sortir de terres. Il est destiné à abriter les différents bureaux de la Direction des grandes entreprises (DGE), l'une des directions administratives de la Direction générale des impôts.

Rédaction 

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