Placé sous la coordination nationale de l’ingénieur Deo Nsunzu Kabuakantanda, le projet “Prise” gagne ses lettres en se révélant comme l’un des rares projets bénéficiaires d’un financement mixte Banque africaine de développement (BAD)-État congolais à avoir atteint plus de 90% de taux de réalisation en rapport avec les objectifs lui assignés.
En plus des appréciations laudatives aussi bien des bailleurs des fonds que celles de la population bénéficiaire de l’impact de la première phase de ce projet, l’ingénieur civil hydraulicien, spécialiste en eau potable et assainissement ainsi que son équipe forcent l’admiration même en dehors des frontières nationales. Les exploits réalisés par Prise alimentent des débats dans des divers forums internationaux où la majorité des intervenants s’accordent à affirmer que le problème de la République démocratique du Congo n’est pas le manque d’une vision politique, mais plutôt la mauvaise foi de certains Congolais à qui l’on confie les responsabilités des projets.
“Comment parler du manque de volonté politique alors qu'avec la même administration, nous assistons à une réussite d'autres projets, le cas du Projet PRISE qui fait des succès sans précédents. Ne nous voilons pas la face, il est temps de faire un diagnostic sans complaisance”, a martelé un intervenant en saluant les capacités managériales de Deo Nsunzu Kabuakantanda, coordonnateur du projet précité, à la différence des autres (dont nous taisons les noms pour des raisons évidentes) qui ont accouché des souris.
Voici les réalisations du projet Prise dans sa première phase dans la région centre de la République démocratique du Congo :Charles Masudi
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