𝐋𝐄 𝐐𝐔𝐈-𝐕𝐈𝐕𝐄
𝐂ette première tranche des 𝐩𝐥𝐚𝐲-𝐨𝐟𝐟s 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐋𝐢𝐠𝐮𝐞 𝟏 c𝐨𝐧𝐠𝐨𝐥𝐚𝐢𝐬𝐞, est exemplaire et donc révélatrice à la 𝐟𝐨𝐢𝐬. 𝐎𝐮𝐢 ! Avant son lancement, il y avait des déclarations, des promesses et des confrontations aux couleurs des 𝐩𝐫𝐨𝐧𝐨𝐬𝐭𝐢𝐜𝐬 𝐝é𝐣à 𝐢𝐦𝐚𝐠𝐢𝐧é𝐬.
𝐂𝐮𝐫𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐥es champions veulent rester une éternité au sommet, les entraîneurs veulent se faire la plus belle image et l’esprit des joueurs 𝐭𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐟𝐚ç𝐨𝐧 𝐝𝐢𝐬𝐜𝐫𝐞𝐭𝐞 𝐝é𝐣à vers d’autres horizons. 𝐃𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐞𝐫𝐭𝐬 𝐢𝐧𝐚𝐭𝐭𝐞𝐧𝐝𝐮𝐬 𝐞𝐭 𝐬𝐮𝐫𝐩𝐫𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭
D’autres sont 𝐬û𝐫𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 sur le terrain pour des 𝐞𝐦𝐩𝐫𝐞𝐢𝐧𝐭𝐞𝐬 et une image destinée à une 𝐞𝐱𝐩𝐥𝐨𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 sur d’autres continents.
Jouer pour se faire remarquer, et souvent pas pour les couleurs du club. Le vrai souci des clubs qui se débattent dans des problèmes, ne se situent pas sur le terrain, mais en coulisses, manifestement encouragé par l’absence totale de stratégie sportive. Dans les coulisses, il y a ceux qui aiment s’amuser, négocier ce qui ne devrait pas l’être, mais on profite de l’absence de contrôles inopinés sur les terrains et même dans les clubs pour y aller sans peur et sans reproche concrétiser leurs objectifs. 𝐃𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐜𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐧𝐮𝐥𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐨𝐥é𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 𝐨𝐮 𝐢𝐧𝐭𝐨𝐥é𝐫é𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐩𝐫𝐨𝐯𝐨𝐪𝐮𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬 𝐚𝐜𝐞𝐫𝐛𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐞𝐳 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐚𝐧𝐠𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐮𝐛𝐬.
𝐃𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐚î𝐧𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐛𝐚𝐠𝐚𝐠𝐞𝐬, 𝐝’𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐫𝐢𝐯𝐞𝐧𝐭. 𝐔𝐧𝐞 𝐯𝐚𝐠𝐮𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐬𝐭𝐚𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝é𝐟𝐞𝐫𝐥𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐮 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥. E𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐚𝐮𝐬𝐞, 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐭𝐚𝐫𝐝 𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐢𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐧𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞𝐮𝐱 𝐣𝐨𝐮𝐞𝐮𝐫𝐬, 𝐝𝐨𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐞𝐭/𝐨𝐮 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐚𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐜𝐥𝐮𝐛𝐬.
𝐃𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞𝐬𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐬é𝐪𝐮𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐞𝐫𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬. 𝐃𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐚î𝐧𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝é𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐨𝐮 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐥𝐢𝐦𝐨𝐠é𝐬 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐪𝐮’𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐜𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐣𝐨𝐮𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐥𝐢𝐛é𝐫é𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐧𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐪𝐮𝐞𝐥 é𝐯𝐨𝐥𝐮𝐞 𝐜𝐞 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭-𝐫𝐨𝐢 𝐚𝐮 𝐩𝐚𝐲𝐬 𝐝𝐞 𝐍𝐝𝐚𝐲𝐞.
𝐃𝐞 𝐥'𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 𝐜ô𝐭é 𝐝𝐞𝐬 𝐝é𝐜𝐥𝐚𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐝𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭 𝐞𝐭 𝐞𝐱𝐩𝐥𝐨𝐢𝐭é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐦é𝐝𝐢𝐚𝐬 𝐝𝐮 𝐩𝐚𝐲𝐬 𝐧'𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐩𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐠𝐮e𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐝𝐞 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐭𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐢𝐧𝐭𝐞 à 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐭é 𝐝𝐮 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥. 𝐃𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐧𝐞 𝐦𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐠𝐨𝐧𝐟𝐥𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐛𝐨𝐮𝐫𝐬𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐝𝐢𝐫𝐢𝐠𝐞𝐚𝐧𝐬 𝐯𝐞𝐫𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐢 𝐯𝐢𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐭é𝐫ê𝐭𝐬 é𝐠𝐨ï𝐬𝐭𝐞𝐬.
𝐈𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞𝐩𝐮𝐢𝐬 𝐥𝐞 𝐝é𝐛𝐮𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧, 𝐥’𝐚𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐝é𝐟𝐚𝐮𝐭; 𝐄𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐧𝐚𝐧𝐭𝐢𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐢𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐦𝐚𝐥𝐢𝐠𝐧𝐢𝐭é 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐬'𝐞𝐱𝐡𝐢𝐛𝐞𝐫 𝐭𝐨𝐫𝐬𝐞 𝐛𝐨𝐦𝐛é.
𝐋𝐚 𝐦𝐚𝐮𝐯𝐚𝐢𝐬𝐞 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐪𝐮𝐢 𝐬𝐭𝐨𝐩𝐩𝐞 𝐥𝐞 𝐝é𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, on en parle prochainement.
𝐆𝐮𝐥𝐥𝐢𝐭𝐡 𝐁
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