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Destruction du siège de l'UDPS à Kashobwe : l'ACAJ appelle à l'arrestation des auteurs




Dans son communiqué nº 36/ACAJ/2023 publié ce vendredi 5 janvier 2024, dont une copie est parvenue à la rédaction de Le Tremplin, l'Association congolaise pour l'accès à la justice (ACAJ) exprime son indignation vis-à-vis de la destruction du siège de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) à Kashobwe, dans le territoire de Kasenga au Haut-Katanga et exige des poursuites judiciaires contre ses auteurs.

" L'Association congolaise pour l'Accès à la Justice (ACAJ) est très inquiète par la destruction du siège du Parti politique "Union pour la Démocratie et le Progrès Social" (UDPS), perpétrés à Kashobwe, Territoire de Kasenga, dans la Province du Haut-Katanga, par des personnes non autrement identifiées.


Face à la récurrence de ces actes d'intolérance politique dont l'objectif vise certainement à s'attaquer au vouloir-vivre collectif patiemment construit depuis la nuit de temps par les vaillants pionniers de notre souveraineté tant nationale, qu'internationale, l'ACAJ exprime sa profonde condamnation.

C'est pourquoi, elle engage le gouvernement : À prendre des dispositions urgentes pour faire échec à cette nouvelle stratégie de combat politique consistant en la destruction des Permanences des Partis politiques adverses, en cas de divergence;

À prévenir des actes similaires et susceptibles d'être dupliqués par d'autres délinquants ailleurs, sur le territoire national;

À rechercher, arrêter et déférer devant les juridictions compétentes les commanditaires et auteurs présumés de ces actes d'une sauvagerie sans commune mesure en démocratie", a écrit Georges Kapiamba, président de cette structure de défense des droits de l'homme.


A noter que l'activiste des droits humains avait réagi en des termes quasi similaires à la destruction du siège d'Ensemble pour la République de Moïse Katumbi à Mbuji-Mayi juste après la publication des résultats provisoires de la présidentielle de décembre dernier par la commission électorale nationale indépendante (CENI).


Charles Masudi 

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